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  1. ALGER - Le juge d'instruction près la Cour suprême a ordonné, mercredi, le placement de l'ex Premier ministre Ahmed Ouyahia en détention provisoire à la prison d'El Harrach, a-t-on appris auprès de la Cour suprême. Ahmed Ouyahia a été entendu par le juge d'instruction près la Cour suprême dans des affaires concernant la dilapidation des deniers publics, d'abus de fonction et d'octroi d'indus privilèges. D'autres responsables devront comparaitre aujourd'hui devant le juge d'instruction près la Cour suprême. En application des dispositions de l'article 573 du code de procédure pénale, le parquet général près la Cour d'Alger avait transmis à monsieur le procureur général près la Cour suprême, le dossier d'enquête préliminaire instruite par la police judiciaire de la gendarmerie nationale d'Alger, pour des faits à caractère pénal, à l'encontre des nommés: Zaalane Abdelghani, Tou Amar, Talaï Boudjemaa, Ghoul Amar, Benyounes Amara, Bouazgui Abdelkader, Djoudi Karim, Bouchouareb Abdesslam, Zoukh abdelkader, Khanfar Mohamed Djamel, Sellal Abdelmalek et Ouyahia Ahmed, avait expliqué le Parquet général près la Cour d'Alger. "En raison de leurs fonctions au moment des faits, les susnommés bénéficient de la règle du privilège de juridiction consacrée par le texte de cette loi", avait précisé la même source. Voilà, il ne reste plus que le gros Boss; Bouteflika, c'est lui qui a laisser pourrir dès le début .....Meme malade il faut qu'il parle, et demander pardon aux algeriens.
  2. L’ancien chef des renseignements algériens, le général Toufik, incarcéré depuis le 5 mai pour «complot contre l’autorité de l’État», a été transféré à l’hôpital militaire d’Aïn Naâdja, dans la banlieue d’Alger, «suite à une hypertension», ont confié des sources au site d’information Observ’Algérie. Le général de corps d'armée à la retraite Mohamed Liamine Mediène, dit Toufik, ancien chef du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) algérien, incarcéré depuis le 5 mai, a été hospitalisé en urgence à l'hôpital militaire de Aïn Naâdja, selon des sources citées par le site d'information Observ'Algérie elon ces sources, l'ancien haut gradé a été transféré le 17 mai de la prison militaire de Blida, où il était incarcéré, à l'hôpital d'Aïn Naâdja en raison «d'une hypertension». «Âgé de plus de 80 ans et soumis à rude épreuve depuis son incarcération, à savoir de longs interrogatoires et une immense pression», l'ancien chef du DRS aurait «craqué et fait un malaise cardiaque», rapporte le site d'information. Accusés d'«atteinte à l'autorité de l'armée et complot contre l'autorité de l'État», Saïd Bouteflika, ancien conseiller spécial et frère de l'ex-Président, ainsi que les généraux Toufik et Athmane Tartag ont été placés le 5 mai sous mandat de dépôt par le juge d'instruction du tribunal militaire de Blida. Les trois hommes ont été arrêtés le 4 mai par les services de la DGSI. Le chef d'état-major de l'ANP, Ahmed Gaïd Salah, avait auparavant accusé Saïd Bouteflika d'être à la tête d'un groupe ayant confisqué le pouvoir présidentiel dans le pays. Le général avait également accusé Toufik de comploter contre l'armée et le mouvement populaire. Quant à Tartag, ancien chef de la Direction des services de sécurité (DSS), il était considéré comme proche du clan présidentiel, notamment de Saïd Bouteflika. Source: fr.sputniknews - Mercredi 22/05/19
  3. Publié le 22/05/2019 à 07:29 | Le Point.fr ENTRETIEN. Fondateur et porte-parole de l'Association algérienne de lutte contre la corruption, Djilali Hadjadj nous dit tout sur l'envers et l'endroit de la corruption en Algérie depuis toutes ces années. Propos recueillis par Hadjer Guenanfa, à Alger L'homme a voué sa vie à lutter contre la corruption sous toutes ses formes. Djilali Hadjadj a commencé son combat contre la corruption en tant que journaliste au Matin puis à El Watan dans les années 1990. Il s'est d'abord intéressé au marché des médicaments, celui des vaccins et des appareils médicaux. Il a fait l'objet de poursuites judiciaires et de menaces de mort. De quoi non pas le décourager, mais l'encourager à créer en 1999 l'Association algérienne de lutte contre la corruption (l'AACC), dont il est devenu le porte-parole. L'organisation suit depuis près de vingt ans les grandes affaires de corruption, dont celle de Sonatrach et celle de l'autoroute Est-Ouest. Autant dire qu'il a observé avec beaucoup d'attention la dernière campagne de lutte contre la corruption lancée depuis quelques semaines, avec l'arrestation de plusieurs hommes d'affaires, dont l'ex-président du Forum des chefs d'entreprises (FCE), Ali Haddad. Pour Le Point Afrique, il en explique les vérités et les leurres. Le Point Afrique : D'anciens hauts responsables sont convoqués par la justice dans le cadre d'une nouvelle campagne contre la corruption lancée avec l'avènement d'un mouvement populaire. Êtes-vous satisfait de l'ouverture de ces dossiers ? Djilali Hadjadj : C'est toujours une bonne chose que des affaires de corruption commencent enfin à emprunter le chemin de la justice, même si cette dernière est une 2e « Grande Muette » qui ne fait aucun effort pour informer l'opinion publique de ce qui se trame. Il faut préciser que pour le Parquet, communiquer dans le respect du secret de l'instruction et de la présomption d'innocence est une obligation légale. À défaut, cette agitation effrénée de l'appareil judiciaire au sortir d'une longue hibernation en matière de lutte contre la corruption participe à la perturbation de l'ordre public, ce qui est assez paradoxal… Comment participe-t-elle à la perturbation de l'ordre public ? Beaucoup d'agitation du côté d'Abane Ramdane (où se trouve le tribunal de Sidi M'Hamed au centre-ville d'Alger, NDLR) et du tribunal militaire de Blida crée un climat d'excitation chez beaucoup de gens, qui en redemandent. Ce qui contribue à exacerber la tension populaire, alors qu'au final la montagne accouchera sûrement d'une souris. Plusieurs hommes d'affaires ont également été placés sous mandat de dépôt dans le cadre d'affaires liées à la corruption. Comment jugez-vous le traitement de ces dossiers jusqu'à présent ? Trop d'affaires déjà connues, trop de dossiers de malversations diverses remontent en surface et inondent les petits bureaux des juges qui n'en demandaient pas tant et qui sont dépassés par les événements, subissant injonctions et ordres de toutes parts, alors qu'il y a à peine quelques semaines, c'était le calme plat dans les couloirs sombres du tribunal d'Alger. Comment quelques juges, plus ou moins spécialisés dans ce type de dossiers, pourront-ils instruire un nombre effroyable d'affaires et enquêter sereinement, en un laps de temps assez court, car la justice est sommée de tenir des procès assez rapidement, la rue est en attente. Avez-vous des informations sur les dossiers pour lesquels ils sont poursuivis par la justice ? Pour le moment, ce sont surtout les dossiers qui lient les ex-Premiers ministres, ex-ministres et ceux que l'on nomme les oligarques en détention provisoire depuis quelques semaines, tous faisant partie de ce que l'on appelle les « personnes politiquement exposées » (PPE), c'est-à-dire, de par les fonctions exercées, qui sont fortement soupçonnées d'être impliquées dans la corruption. Ces PPE sont entendues et/ou accusées d'avoir octroyé nombre de faveurs ou autres « cadeaux » sonnants et trébuchants à leurs proches et à ces oligarques, en violation de la loi : crédits bancaires, subventions, marchés publics de gré à gré, attributions de fonciers, facilités douanières, transferts de devises, etc. Dès le début des manifestations, l'ordre des avocats d'Alger a alerté sur les transferts de capitaux. Avez-vous des informations sur ce sujet ? Fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale, fuite des capitaux, transfert illicite de devises, comptes bancaires dans les paradis fiscaux, biens mal acquis à l'étranger : ce sont autant de délits dont se sont rendus coupables nombre de dignitaires du régime et d'oligarques en Algérie. Si ici et là, des appels ont été lancés, dont celui des avocats, afin de se pencher sur ces pratiques, il faut croire que les autorités d'un certain nombre de ces « pays d'accueil » ont toutes les données en main, dont un inventaire détaillé et des personnes impliquées et de ce qu'elles possèdent. Il est d'usage depuis quelques années, grâce à un certain nombre d'instruments internationaux contraignants, et donc qui les obligent, que ces autorités prennent des mesures conservatoires préventives de type gel des avoirs par exemple quand dans un pays non démocratique survient un mouvement populaire qui renverse le régime en place. La Suisse s'enorgueillit d'avoir gelé les avoirs du clan Ben Ali (Tunisie) huit jours après qu'il se soit sauvé du pays. Le 22 mars dernier, lors d'une réunion internationale sur la restitution des avoirs, j'ai interpellé à ce sujet un représentant du gouvernement suisse, en souhaitant que les autorités de ce pays agissent de même avec l'Algérie. Avez-vous des informations sur les dossiers pour lesquels ils sont poursuivis par la justice ? Pour le moment, ce sont surtout les dossiers qui lient les ex-Premiers ministres, ex-ministres et ceux que l'on nomme les oligarques en détention provisoire depuis quelques semaines, tous faisant partie de ce que l'on appelle les « personnes politiquement exposées » (PPE), c'est-à-dire, de par les fonctions exercées, qui sont fortement soupçonnées d'être impliquées dans la corruption. Ces PPE sont entendues et/ou accusées d'avoir octroyé nombre de faveurs ou autres « cadeaux » sonnants et trébuchants à leurs proches et à ces oligarques, en violation de la loi : crédits bancaires, subventions, marchés publics de gré à gré, attributions de fonciers, facilités douanières, transferts de devises, etc. Dès le début des manifestations, l'ordre des avocats d'Alger a alerté sur les transferts de capitaux. Avez-vous des informations sur ce sujet ? Fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale, fuite des capitaux, transfert illicite de devises, comptes bancaires dans les paradis fiscaux, biens mal acquis à l'étranger : ce sont autant de délits dont se sont rendus coupables nombre de dignitaires du régime et d'oligarques en Algérie. Si ici et là, des appels ont été lancés, dont celui des avocats, afin de se pencher sur ces pratiques, il faut croire que les autorités d'un certain nombre de ces « pays d'accueil » ont toutes les données en main, dont un inventaire détaillé et des personnes impliquées et de ce qu'elles possèdent. Il est d'usage depuis quelques années, grâce à un certain nombre d'instruments internationaux contraignants, et donc qui les obligent, que ces autorités prennent des mesures conservatoires préventives de type gel des avoirs par exemple quand dans un pays non démocratique survient un mouvement populaire qui renverse le régime en place. La Suisse s'enorgueillit d'avoir gelé les avoirs du clan Ben Ali (Tunisie) huit jours après qu'il se soit sauvé du pays. Le 22 mars dernier, lors d'une réunion internationale sur la restitution des avoirs, j'ai interpellé à ce sujet un représentant du gouvernement suisse, en souhaitant que les autorités de ce pays agissent de même avec l'Algérie Vous estimez que la corruption a atteint des proportions alarmantes en Algérie durant ces vingt dernières années. Comment expliquez-vous cela ? L'explosion de la corruption pendant cette période a été admise, autorisée, facilitée par le pouvoir en place, impunité totale à la clé : c'est malheureusement aussi simple que ça. Le mode de fonctionnement du pouvoir pour se pérenniser reposait sur une règle mafieuse : « Enrichissez-vous, laissez-nous nous enrichir ! » La prédation a été systématique à tous les niveaux. Qui en est le responsable ? Nous avons tous failli ! C'est l'échec de la société, d'un pays. Ce serait trop facile de jeter la pierre uniquement sur le pouvoir et à ses relais dans les secteurs de l'économie, des affaires et des finances, même si ce pouvoir absolu a corrompu absolument, pour reprendre Montesquieu. La responsabilité aussi revient – pour ce qui est des affaires de corruption à l'international – à ces multinationales corruptrices qui n'ont eu aucun scrupule à s'emparer d'une bonne partie de la commande publique algérienne avec le feu vert tacite des gouvernements de leur pays. Celles qui ont refusé de verser des pots-de-vin, des commissions et autres gros « cadeaux » ont été systématiquement écartées de cette commande. Quelle est la responsabilité de l'ex-président dans l'évolution de ce phénomène dans le pays ? Responsabilité énorme ! N'oublions pas qu'il a lui-même été adepte de ce type de pratiques quand il était aux affaires dans les années 70 : le dossier est très lourd au niveau de la Cour des comptes. L'assassin revient toujours sur les lieux de son crime. Durant ces vingt ans de règne sans partage, il savait parfaitement ce qui se passait : il a laissé faire, il a fermé les yeux, il a fait dans le népotisme à grande échelle, il a protégé les siens, épargné ses amis. Une loi a été adoptée au milieu des années 2000. Des instances ont été créées pour lutter contre la corruption. Est-ce que ces mesures étaient inefficaces ? Pourquoi ? Notre association n'a cessé ces quinze dernières années, depuis la ratification par l'Algérie en 2004 de la Convention des Nations unies contre la corruption, d'interpeller les pouvoirs publics à l'effet de mettre en place une stratégie pour empêcher l'explosion de ce fléau, en vain. Il y a un très mauvais dispositif législatif, qui plus est non traduit en actes concrets sur le terrain et la mise en place d'agences gouvernementales spécialisées mais non opérationnelles. La suite, on la connaît : corruption généralisée, l'objectif du pouvoir, dès le départ, étant de corrompre la lutte anticorruption, et il a pleinement réussi.
  4. On va le savoir bientôt mais il est certain que c'est à l'interne, aucune main étrangère!
  5. Un handicape qui fait souffrir le petit peuple d'Algerie tout entier, à part un autre peuple qui profite extrêmement de la maladie paralysante, en l’occurrence; le cercle rapproché de Bouteflika, ANP, FLN et certains parties. Depuis 2012, ça fait 7 ans, pas un seul mot à son peuple, presque un mort, ON VEUT UN AUTRE CINQ ANS à Bouteflika. La question est c'est qui ON? Personnellement , j'accuse Said le frère du président et une multitude de voleurs autour de lui..Bouteflika qui ne marche pas, ne pouvant même pas faire ses besoins naturels sans l'aide de quelqu'un , qui ne parle pas, entend pas ne sourit pas.....tab jnanou depuis 2012, et c'est lui qui l'avait dit, ne sert plus à la destiné du pays....ON NE SE REND PAS COMPTE, bande d'ignares; Ouyahia, Ghoul, Said(s) et autres.. le 1 et demi million de chahids son morts pour rien.....Honte à vous Bouteflika et ta bande, vous avez fait du pays la risée du monde . Le peuple a aussi sa part du tort, si 20 des 44 millions de la population sorte dans la rue pour dire haut et fort, C'EST ASSEZ! Je pense que le cauchemar cesse. ' Bonne chance l'Algerie
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